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Dès 1990, la rébellion armée APR/FPR dirigée par Paul KAGAME, déclare la guerre au gouvernement rwandais dans l'objectif de prendre le pouvoir. Après l'échec des négociations de paix et le refus du FPR d'entériner un partage du pouvoir, l'attentat du 6 avril 1994 contre le président hutu en place déclenche le génocide et la reprise des combats. Sorti victorieux de ce face-à-face militaire sanglant, le chef du FPR, le général Paul Kagame, le protégé des Anglo-Saxons devenu l’homme fort du Rwanda, s’est arrogé le monopole de la vérité sur le génocide rwandais. Grâce à des soutiens diplomatiques puissants, il s’est autorisé tous les excès, assassinant des ressortissants occidentaux (Canadiens, Espagnols, Belges, etc.) témoins gênants des crimes perpétrés par son mouvement durant le génocide, avant de commettre des crimes de masse au Rwanda et en République Démocratique du Congo (RDC) voisine, sans crainte d’être importuné par la communauté internationale. |